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À l’assaut des 1 200 châteaux d’Anjou

« Il n’y a guère de ville où l’on éprouve une familiarité plus puissante avec le passé » écrit René Bazin à propos d’Angers, sa ville natale. Cette remarque peut s’élargir à toute la province où d’innombrables châteaux rythment le paysage. Du château-forteresse à la demeure de plaisance, le visiteur est invité à relire l’Histoire, à croiser des personnages illustres, terrifiants ou fantasques et à découvrir quelques légendes et témoignages ésotériques. Aujourd’hui, les châtelains s’attachent à valoriser cet exceptionnel patrimoine en faisant partager l’art de vivre ligérien. Les plus beaux châteaux, souvent habités, prêtent leur fastueux décor au théâtre, à la musique ou au cinéma. Ils mettent aussi en scène de nombreuses animations, se font hôtels du patrimoine ou chambres d’hôtes de charme.

L’Anjou et le cheval, une histoire d’amour

Gélinotte, Une de Mai, Rêve d’Udon, Idéal du Gazeau… Turfistes ou non turfistes, tout le monde connaît ces grands champions des courses de trot, vainqueurs pour certains du célèbre prix d’Amérique. Mais combien savent qu’ils ont effectué leurs premiers trots sur cette noble terre angevine, issus des élevages ligériens dont la réputation n’est plus à faire ?

Le cheval, s’il est certes la plus belle conquête de l’homme, est également l’une des plus belles histoires de l’Anjou. Une histoire d’amour qui n’en finit pas de générer des aventures… Une histoire qui a débuté il y a bien longtemps, lorsque les rois, sur leur fière monture, ont fait de ce pays leur royaume… Une histoire inscrite depuis décembre 2011 au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO : la tradition équestre française, avec pour capitale Saumur, son célèbre Cadre noir et son École nationale d’équitation au sein de l’Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE), peut s’enorgueillir de cette reconnaissance d’un savoir-faire moderne et très ancien.

Le fil du schiste angevin

Partie intégrante du paysage angevin, l’ardoise coiffe les toitures des maisons et des châteaux. Au XIXe siècle, le schiste ardoisier a donné naissance à une puissante industrie, faisant travailler des milliers de carriers et de fendeurs dans les mines angevines. Grâce aux qualités naturelles du matériau angevin, l’activité a perduré jusqu’en 2014, date de fermeture des dernières mines ardoisières à Trélazé. Aujourd’hui, l’ardoise nourrit activités touristiques et artisanat, tout en inspirant les chocolatiers.

Richesse des matières et diversité des savoir-faire angevins

 Au fil de la saison touristique, de nombreux sites dévoilent la richesse des matières et la diversité des savoir-faire, vivaces depuis des siècles en Anjou et toujours innovants.

Bien sûr, les axes végétal et vignoble, ardoise, tuffeau et argile, textile et chaussure sont mis en lumière au fil de parcours et d’animations muséographiques emblématiques. Au gré d’un atelier ou au détour d’un village, se révèlent également beaucoup d’autres productions artisanales : tapisserie, enluminure, girouetterie, savonnerie, botterie, étains, figurines de plomb… Sans compter les musées techniques dédiés à l’aviation, aux moteurs, blindés ou encore moulins, qui revivent grâce à la passion.

Les entreprises industrielles et les services tertiaires contemporains s’ouvrent depuis quelques années au grand public à l’occasion de rendez-vous de découverte économique programmés à Angers, à Cholet et sur tout le département.

Le seul nom de Maine-et-Loire évoque la plus vaste confluence du bassin de la Loire, carrefour entre la plus courte rivière et le plus grand fleuve français.

Tendue comme un arc d’Est en Ouest, la Loire est le trait d’union d’un département à l’hydrologie galopante. 4 000 km de cours d’eau irriguent l’Anjou, ouvrant aux visiteurs d’insolites horizons liquides. Ici, l’eau ne coule pas seulement pour le regard des hommes. Elle est source de loisirs multiples : croisières fluviales, canotage, canoë-kayak, pêche, randonnées pédestres et à bicyclette. D’une rive à l’autre, la Loire et ses affluents dévoilent aussi une nature généreuse et une foule d’oiseaux migrateurs. Cet harmonieux équilibre entre terre et eau vaut à l’Anjou une double reconnaissance. La Loire appartient désormais au Patrimoine mondial de l’UNESCO tandis que les Basses Vallées Angevines, ces prairies inondables en amont de la Maine qui accueillent une faune et une flore naturelles remarquables, sont répertoriées en site Natura 2000 comme une des plus riches régions humides naturelles d’Europe.

L’Anjou à table

Cinquième département agricole français, le Maine-et-Loire bénéficie d’un atout majeur : une grande diversité des productions. On a d’ailleurs coutume de dire « que tout pousse ici sauf l’olivier. Et encore, on n’a jamais essayé… ». Forte et plurielle, l’économie agricole nourrit une diversité de plats où viandes et volailles, poissons, légumes et fruits ont toujours une place privilégiée. Sans compter la riche carte des vins et des liqueurs presque uniques en France.

La Loire, un fleuve bien inspiré

Nonchalante ou impétueuse, la Loire offre des paysages au caractère parfois spectaculaire, parfois intime, sans cesse renouvelés par la vie du fleuve, par les lumières. L’inondabilité de la vallée, élément puissant, est source de contraintes mais aussi de richesses : les levées racontent l’histoire des relations défensives entre les hommes et le fleuve, alors que les épis de Loire (aménagés au début du XXe), les quais, les prairies ombragées de frênes têtards, la construction particulière des maisons de la vallée sont autant d’expressions fortes d’un savoir-vivre avec la Loire.

L’Anjou, côté jardin, côté horticulture

La fameuse “douceur angevine” se traduit pleinement dans le monde végétal. En cultivant depuis le Moyen Âge sa passion pour les fleurs, la province est devenue au XIXe siècle le carrefour national des plantes et des arbres. Le 1er département horticole français s’affirme aujourd’hui en Europe par la variété de ses productions et l’importance de ses unités de recherche et de formation au sein de Végépolys Valley, pôle de compétitivité depuis 2005. La réputation horticole de l’Anjou se lit également dans ses paysages, les parcs de ses châteaux, ses jardins où s’exprime la recherche d’un équilibre entre tradition et innovation, tout comme dans ses collections végétales et ses nombreuses fêtes dédiées aux plantes.

Anjou en scène

Intense activité des châteaux, des abbayes. Le temps d’un festival de musique, de théâtre ou de poésie, l’Anjou retrouve le faste des fêtes royales et des cours poétiques. Il en est ainsi du Festival d’Anjou, dont les tréteaux s’installent chaque été dans la cour d’élégants châteaux comme Le Plessis-Macé où l’on retrouvera Cocteau, Molière, Marivaux, Shakespeare, Montherlant… Le vent de la nuit fait frissonner les costumes et l’air du soir porte, le long des façades des siècles, la voix haute des acteurs : Francis Perrin, Laurent Terzieff, Pierre Arditi, Emmanuelle Béart, Nicolas Briançon, etc. L’Anjou prête son décor réel de tuffeau et de schiste à la fiction des beaux jours.

Les Routes des vins & villages de l’Anjou : un festival de découvertes

Loire, Layon, Aubance, Thouet… Curieusement, c’est l’eau qui sert de fil conducteur aux vins d’Anjou-Saumur. En suivant les 6 Routes des vins & villages de l’Anjou, le visiteur met le cap sur 27 appellations. De coteaux en plaines, ces itinéraires buissonniers traversent 20 000 hectares aux couleurs et aux parfums du terroir : blanc, rouge, rosé, moelleux, sec ou demi-sec, vins de fines bulles. Une étonnante variété liée à la douceur climatique, à la diversité des sols et au savoir-faire des hommes !

Le génie des lieux

À l’instar de l’Anjou noir schisteux, le Saumurois a largement exploité ses pierres crayeuses et coquillières. Depuis des siècles, les hommes n’ont pas seulement taillé le tuffeau et le falun pour construire maisons, châteaux et églises. Très tôt, ils ont aussi ciselé un monde souterrain et adopté un étonnant art de vivre. En plaine ou en coteau, plus de 1 000 km de galeries, de caves, de carrières, de fermes, d’ateliers et de villages jalonnent l’un des plus vastes et des plus riches ensembles troglodytiques d’Europe. Un univers habité, secret et surréaliste, une histoire de cultures ancrée dans le calcaire…

Une histoire cousue de fil blanc… le textile en Anjou

Le poids du Choletais dans l’univers de la mode et du cuir, la présence de grandes marques françaises à vocation internationale, l’emblématique secteur Enfant qui s’épanouit au sein de Nova Child depuis 2011… En Anjou, si le textile et la chaussure sont une tradition, les entrepreneurs s’attachent toujours à faire valoir sur ces marchés leur créativité face à la concurrence mondiale.

L’Anjou au fil du ciel

“Le climat de la vallée est dans l’obéissance de la mer”, écrivait l’angevin René Bazin. En effet, dans aucune autre région de France, l’influence maritime ne se fait sentir aussi loin que dans la vallée de la Loire. Le vent d’ouest dit de “galerne” apporte à l’Anjou le souffle océanique. Pendant des siècles, il n’a pas seulement gonflé les voiles des gabares, il a aussi animé les ailes des moulins et le zinc des girouettes. La conquête du ciel a passionné très tôt les Angevins dont le pionnier René Gasnier reste la figure de proue des jeunes aviateurs locaux. De la terre à l’espace, il n’y a qu’un pas qu’on peut toujours franchir du musée de l’air aux différentes pistes de décollage…

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